Tribune : Le président Faya Millimouno et le dernier secret du pouvoir (Par Aboubakr)
Il faut bien le dire avec art et aisance verbale que c’est un secret de polichinelle pour qui que ce soit, l’heure de l’ascension à la magistrature suprême de la Guinée du guide premier le président Faya Millimouno approche à pas de géants. Il le sait, ils le savent, nous le savons tous. C’est un acte divin qui s’accomplira comme un coup de foudre dans une république où pendant longtemps des foutriquets déguisés en apprentis leaders ont imposé leur malédiction personnelle à tout un peuple qui respire souffrance et désarroi. Un peuple à qui l’on a tout pris même les services fondamentaux de base, quelle méchanceté de leur part. Ils sont tous, aujourd’hui en exil par choix d’une part et d’autre part par l’ire au ventre de répondre de leur escroquerie économique, on encore de leur criminalité économique. Quel regret et quel malheur pour la Guinée d’avoir eu ces déchets sociaux dans les eaux politiques guinéennes. La Guinée s’en est heurtée dans son histoire à un ramassis d’individus par effraction qui ont eu la malheureuse chance d’occuper des postes prestigieux pour s’assurer un destin présidentiel par la suite, sauf que le destin présidentiel ne choisit que ces hommes élevés dans le méritoire qui prônent des valeurs démocratiques et qui ont dans leur cœur l’amélioration des conditions de vie de leur peuple. C’est le cas de l’ancien consultant en éducation à la banque mondiale, Dr Faya Lansana Millimouno, un président en qui tout se résume, prospérité, partage, honnêteté, transparence et grandeur nationale, non pas parce-qu’il est le désigné de Dieu et du destin seulement mais aussi parce-qu’il est le plus malin et méritant du lot. L’histoire s’en souviendra et lui donnera raison là où certains souhaitent tellement qu’il ait tort. C’est pourquoi dans sa sérénité olympienne, il marche prudemment et sûrement car il s’assure un destin plus haut que jamais. Il vit pour les autres, sans se soucier de lui-même. Il l’accepte puisque c’est son destin, c’est sa mission. Le président Faya Millimouno sera le président du changement, puisque lui-même il est déjà le changement, il le porte partout il passe, il dégage une assurance divine loin des autres sous des pompes ethniques.
Quant-ils comprendront que la politique ce n’est pas l’ethnie, encore moins elle qui conduit au pouvoir mais plutôt le peuple dans toute sa configuration, ils pourront peut-être dans une moindre mesure continuer à porter le rêve d’être Président.
Aboubakr Guilavogui, membre de la cellule de communication du Bloc libéral (BL).