Le dialogue, dit-on, est l’arme des forts et dans le silence créé par les cyberactivistes insulteurs publics, Alassane Ouattara a décidé de reprendre contact avec Guillaume Soro, bloqué en France depuis son retour manqué du 23 décembre 2019.

Trois chefs d’Etat auraient été mandatés pour reprendre langue avec l’enfant terrible de Lafopkokaha. Le poste de Vice-président, sans étoffe juridique, lui aurait été proposé avec la libération de ses soutiens, embastillés dans diverses prisons du pays, Toumodi, Adzopé, Divo entre autres.

L’ex-chef des Forces Nouvelles, qui n’est nullement surpris des tournures de l’histoire, pose l’équation de la crédibilité de la parole donnée. Pour l’heure, les négociations se poursuivent et augurent d’un réchauffement des liens entre les deux ex-alliés.

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